Meline Massy, 19 ans, étudiante à l’IUT
« Çà me correspond totalement »
« Après un bac en économie, j’ai intégré l’université de Rennes en licence de math et informatique appliquées aux sciences sociales. Mais en plein Covid et avec des cours à distance, j’ai eu envie de changer. Je me suis réinscrite sur Parcoursup pour postuler à un Bachelor (bac+3) en logistique industrielle et organisation. C’est un domaine qui m’intéresse depuis le lycée. Je me retrouve dans cette formation qui est assez large et concerne différents secteurs d’activité. J’ai choisi Lorient car les promotions sont plus petites, on se connaît tous, élèves et professeurs, on s’entraide. Les enseignants adaptent leurs cours, sont à l’écoute de nos envies, de nos expériences. Et puis Lorient est une ville agréable, accessible : je fais tout à pied, je rentre le week-end à Rennes, je peux aller à la mer facilement… Je suis arrivée en septembre 2021 et ça me correspond totalement ! »
Arnaud Perrot, 42 ans, maître de conférences et responsable génie civil à l’ENSIBS*
« Une meilleure carrière que si j'étais resté à Rennes »
« Je viens de Chartres et je suis allé à Rennes pour suivre des études d’ingénieur puis un doctorat. En 2006, j’ai candidaté à Lorient pour un poste d’enseignant-chercheur en génie civil. Je travaille avec les entreprises sur l’apprentissage et j’ai créé une nouvelle spécialité d’ingénieurs tournée vers les outils numériques au service des métiers de la construction. Il faut oublier l’image de la brouette de chantier. Aujourd’hui, on utilise des maquettes numériques, des tablettes, des capteurs de données pour piloter l’entretien, le chauffage, l’éclairage, l’impact environnemental du bâtiment… À Lorient, j’ai découvert un environnement agréable et une université dynamique : des promos à taille humaine, une vraie proximité avec les étudiants, un suivi personnalisé, la possibilité d’évoluer et de monter des projets. Ici, j’ai pu m’investir dans mon laboratoire, j’ai pu créer une nouvelle formation, nouer de nouveaux partenariats avec des industries et entreprises locales ou nationales. J’ai réalisé une meilleure carrière que si j’étais resté à Rennes ! »
*école nationale supérieure d’ingénieurs de Bretagne Sud
Alexandre Chatelain, directeur des ressources humaines chez SRB* à Hennebont
« L’alternance, c'est une évidence pour tous les métiers du bâtiment »
« Nous accueillons depuis quelques années des jeunes qui suivent le master génie civil et maîtrise en alternance à l’école d’ingénieurs. Pour moi, c’est la meilleure façon de se former dans les métiers de la construction. L’objectif, c’est de les embaucher, car nous avons régulièrement des postes à pourvoir, soit parce qu’il y a un renouvellement dans le personnel soit parce que notre société se développe. Nous avons le temps d’évaluer les étudiants et eux prennent des habitudes qu’ils auront acquises lors de leur prise de poste. Ils seront naturellement plus à l’aise. Cette année, les alternants sont sur des postes de conducteur de travaux, sur des missions liées à l’étude de prix, aux appels d’offres ou à l’organisation des chantiers. Je trouve la formation de l’UBS très pertinente car elle correspond bien au quotidien de nos métiers et aux besoins de l’entreprise. SRB accueille aussi des étudiants en formation initiale qui font leur stage de fin d’études chez nous. C’est une expérience qu’ils peuvent valoriser. » * 117 salariés, spécialisé dans la construction de bâtiments, notamment des logements collectifs
Jérôme et Stéphanie Bertin, parents de Gwladys, titulaire d’un master recherche en anglais
« C’est très pratique d'avoir une université à proximité »
« Gwladys vient de terminer sa deuxième année de master recherche lettres, langues et civilisations étrangères et régionales en anglais. Son projet ensuite est de faire un doctorat tout en préparant l’agrégation d’anglais. Gwladys a fait toutes ses études universitaires à Lorient. Nous habitons à Ploemeur, c’était très pratique d’avoir une université à proximité. Et puis nous avons été séduits par les possibilités d’échanges avec l’étranger : Gwladys est partie deux fois au Canada ! Les professeurs connaissent et accompagnent les élèves, l’enseignement est de qualité, ils les suivent jusqu’à après leurs études. Gwladys a profité de ses études et de ses voyages pour travailler et participer à des projets : traductrice pour une revue canadienne, assistante de recherche au département anglais de l’université canadienne, prof d’anglais et de français, participation à des conférences… Elle a fait beaucoup de rencontres qui l’amènent encore à voyager : en Suède, en Allemagne, en France. Nous n’imaginions pas que notre fille ferait autant d’études longues avec des expériences enrichissantes ! »